Ostéoporose post-ménopausique : faut-il toujours privilégier les bisphosphonates dans nos soins ?

L’ARS et le Gérontopôle AURA ont publié un rapport très instructif sur la balance « bénéfique-risque » des bisphosphonates dans le traitement de l’ostéoporose post-ménopausique et les très rares cas d’ostéonécrose de la mâchoire.

On sait aujourd’hui que les bisphosphonates, médicaments inhibiteurs administrés en première intention pour le traitement de la très courante ostéoporose post-ménopausique, sont susceptibles d’entraîner de manière très exceptionnelle des effets indésirables, et notamment des ostéonécroses des maxillaires.

Si cette incidence est extrêmement faible, il était essentiel de connaître exactement la mesure de ce risque, tant ces médicaments sont efficaces pour traiter les fractures.

C’est ce à quoi s’est attelée l’Agence Régionale de Santé Auvergne-Rhône-Alpes, en lien avec le Gérontopôle AURA, à travers un rapport bénéfice-risque publié il y a quelques mois et confirmant « que les effets indésirables graves restent très rares ».

Cet article, qui aborde aussi la question des enjeux pour le patient et émet quelques recommandations de bon aloi, s’appuie sur la littérature existante.

À SAVOIR

Vous voulez prendre connaissance de cet article ? Deux options :

Rendez-vous sur le site de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes ou consultez l’article complet sur le site du Gérontopôle AuRA.

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